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Dans cet article, Manek vous propose un guide des quartiers chauds, et des bars à hôtesses de Tokyo.
Tout d’abord, les étrangers sont-ils admis dans les bars à hôtesses ?
Oui mais…
Pour la petite histoire, Fukuda l’ancien premier ministre du Japon aurait été refoulé d’un bar à hôtesses de Kyoto, alors qu’il était Premier ministre du pays de Yukiko et Takeshi.
Bref, si un Premier ministre n’est pas admis dans un club à hôtesses japonais, rien de plus normal alors qu’un blanc se fasse refuser l’entrée d’un club-bar à hôtesses au Japon.
Il existe au Japon 3 types de bars à hôtesses :
Les bars à hôtesses chics de Ginza : se sont les plus chers, les hôtesses number One peuvent gagner 50 000 euros par mois. Les clubs les plus populaires fonctionnent d’une façon un peu étrange, vous devez être invité, connaître un habitué pour pouvoir boire avec les plus belles hôtesses de Ginza. Le système VIP pour un club à filles japonaises.
Ici les pauvres ne sont pas admis.
Si vous parlez japonais, je vous conseille ce reportage de la télévision japonaise sur la numéro un d’un club à hôtesses de Ginza.
Les bars à hôtesses « Kyabakura » : un kyabakura ressemble à un bar à hôtesses en moins cher, les hôtesses sont souvent des étudiantes qui parlent avec la même voix que Donald.
Si tu veux parler comme Donald, je te conseille cette vidéo qui est juste magique.
https://www.youtube.com/watch?v=f2HPJlN5MHA
Une hôtesse numéro un dans un kyabakura peut gagner 10 000 euros, sympa pour payer les études, acheter le dernier sac Hermès en crocodile, et les voyages à Hawaii avec Yukiko et Tomoko.
Un reportage sur numéro un d’un Kyabakura à Osaka.
https://www.youtube.com/watch?v=5s1vGPl1KXY
Les snacks, en France les snacks seraient les bars américains, des petits bars qui font souvent 10 m2, avec une mamansan, et des hôtesses un peu âgées. Dans le quartier de Kamata, des étudiantes travaillent dans les snacks.
Comment fonctionne un bar à hôtesses au Japon ?
Le principe du bar à hôtesses au Japon est le suivant : vous payez une certaine somme d’argent pour entrer, puis vous payer de 10 à 100 euros par heure pour les boissons illimités. Vous pouvez commander des bouteilles mais au final le prix sera encore plus élevé.
Pour parler avec les hôtesses Japonaise, vous devez payer entre 1000 et 3000 yens pour choisir votre fille, et après un lady-drink à 1000-2000 JPY comme dans les bars à filles de Bangkok, sauf que contrairement à La belle Pang du Baccara, les hôtesses japonaises arrivent à tenir une conversation.
Est-il possible de coucher avec une hôtesse japonaise ?
La réponse est non. La prostitution est interdite au Japon : le bar à hôtesses au Japon est un bar ou l’on se saoule, et/ou l’on parle avec des belles Yukiko.
Bien sûr vous pouvez toujours contacter les hôtesses japonaises par Line, et jouer à Mario Kart ensemble au love hôtel du coin, des hôtesses japonaises couchent avec des clients, même si la plupart des filles de bar japonais arrivent à gagner suffisamment d’argent avec les ladys-drink.
Je m’explique, une fois que vous avez joué à Mario Kart avec votre hôtesse japonaise préférée, vous n’allez peut-être plus aller la voir dans son bar. Les hôtesses vous vendent du rêve, le rêve de pouvoir peut-être un jour sortir à une hôtesse. Ce n’est pas dans l’intérêt d’une hôtesse de coucher avec son client au premier rendez-vous.
Ne l’oubliez jamais, les hôtesses japonaises sont avant tout de bonnes actrices.
Ou trouver des bars à hôtesses à Tokyo qui acceptent des étrangers ? Est-ce facile pour un étranger de s’amuser avec des hôtesses japonaises ?
La réponse est oui, si vous montrez une liasse de billets aux rabatteurs (100 000 yens), sinon la partie sera un peu plus difficile. Ne l’oubliez pas en Asie l’argent est roi, surtout dans le milieu de la nuit japonais qui fonctionne parfaitement bien sans les clients étrangers.
Il existe plusieurs quartiers à hôtesses à Tokyo :
- Shinjuku et son fameux Kabukicho-lapin, et un peu plus loin Nakano
- Ueno
- Kamata mon quartier préféré, le quartier méconnu des bars à hôtesses.
- Roppongi le quartier des hôtesses ouzbeks et russes.
- Ikebukuro.
- Ginza, le quartier des hôtesses pour les très riches.
Je vous conseille d’essayer Shinjuku, certains bars sont Gaijins Friendly, et Kamata qui est assez méconnu. Si vous parlez japonais je vous donne l’adresse de tous les kyabakuras de Tokyo :
https://www.pokepara.jp/tokyo/gg1/
Si vous avez la même montre que cet homme, vous pouvez toujours aller à Ginza.
Costume à 2000 euros, et Rolex le minimum pour Ginza.
Ça ressemble à quoi un bar à hôtesses japonais ?
Est-ce qu’on s’amuse dans un bar à hôtesses japonais ?
La réponse est oui, mais.
Si vous avez de l’argent, vous allez vous amuser. Être entouré de belles Japonaises est un kiffe, c’est comme jouer à Métal Slug sur neogeo avec la cartouche originale.
De plus, les filles des Kyabakura sont très jolies, il est facile de tomber amoureux.
Si vous êtes en mode crevard, vous allez surtout stresser pour votre argent.
Et toi Manek, que penses -tu des bars à Hôtesses au Japon ?
Emili travaille au club lièvre à Gotanda.
Travailler à l’étranger avec un contrat local ne me permet pas de sortir dans les bars à hôtesses japonais tous les mois. Cependant, je me suis toujours plus amusé dans un bar à filles japonais que dans un bar à filles en Thaïlande. N’oubliez pas que les Salaryman japonais arrivent à se faire passer les factures des bars d’hôtesses en note de frais. Ils sont fort les représentants japonais.
Je vous conseilles les bar à hôtesses coréens de Tokyo et Osaka qui acceptent plus facilement les étrangers.
J’étudie le japonais à Tokyo, j’aimerais travailler dans un bar à hôtesses pour améliorer mon japonais, est-ce possible ?
La réponse est OUI, plusieurs bars de Tokyo emploient des étrangères, ce n’est pas très légal, mais si vous avez un bon niveau de japonais, vous pouvez travailler comme hôtesse au Japon.
Je vous laisse avec une vidéo ( sous titre en anglais ) sur une journée dans la vie d’une hôtesse japonaise.